Hébreux 6:10-20
L’Espérance
v.9 « Car Dieu n’est pas injuste, pour oublier votre travail et l’amour que vous avez montré pour son nom, ayant rendu et rendant encore des services aux saints » Il semble qu’une partie de notre espérance, c’est d’être reconnu ou récompensé pour les bonnes choses que nous avons fait. Surtout notre service envers les saints!
v.11 « Nous désirons que chacun de vous montre le même zèle pour conserver jusqu’à la fin ne pleine espé-rance » Cela semble être l’espérance subjective – l’espérance qu’on ressent.
v.15 « Abraham … obtint l’effet de l’espérance » L’espérance n’est pas la fin, c’est le moyen
v.18 « un puissant encouragement, nous dont le seul refuge a été de saisir l’espérance qui nous était propo-sé » C’est l’espérance que nous avons saisie une fois pour toutes
v. 19 « Cette espérance, nous la possédons comme une ancre de l’âme » - C’est notre espérance objectif, absolue.
Le mot « espérance » peut avoir deux significations. Il y a « espérance », dans le ses de « ce qui nous attend ». Une personne peut avoir une longue ou une courte espérance de vie. Et sans le savoir. Dans ce cas-là son es-pérance n’a rien à voir avec le fait d’en être conscient, ou avec son sentiment. C’est simplement quelque cho-se qui est sûr et certain, indépendamment des sentiments ou du savoir de la personne. Ou, une personne peut avoir une espérance dans le sens « espérer » quelque chose. Il s’agit de leur sentiment ou de leur connaissance. Une personne peut espérer guérir d’une maladie, et avoir raison ou pas. Mais il espère. Une personne aussi peut aussi « espérer » l’accomplissement d’une promesse de la part d’une personne en qui il a confiance. Quand tu travailles, tu « espère » ton salaire à la fin du mois ou à la fin de la semaine. Tu en es confiant. Mais objectivement, il se peut que ton employeur a secrètement l’intention de te donner un salaire double ce mois-ci, à ton insu. Donc, tu as une espérance dont tu n’es même pas conscient!
Quand la Bible parle de notre espérance, elle en parle dans les deux sens. Elle parle de ce qui nous attend, et elle parle de notre sens d’anticipation de ce qui nous attend.
I. Nous avons besoin de l’espérance (« seul refuge ») v.18
1. Un garçon nu pied qui vendait des journaux était dehors dans la pluie. Il faisait froid. Il frot-tait son pied gauche après sa jambe droite; son pied droit après sa jambe gauche; essayant d’obtenir un peu de chaleur. À tous les 2 minutes, il criait : « Journal du matin! Journal du matin! » Un homme s’arrête pour acheter un journal, et remarque son manque de confort. Il dit : « Ce climat est dur pour toi, n’est-ce pas? » L’enfant répond en souriant : « Ah, ça ne me dérange pas trop, monsieur. Je sais que le soleil brillera de nouveau ! » C’est ce dont nous avons besoin dans la vie chrétienne. L’espérance. Sommes-nous conscients, que le soleil de justice brillera de nouveau? Croyons-nous vraiment aux promesses éternelles? Ou regar-dons-nous seulement à ce que nous voyons dans cette vie-ci? (DB 15 juin ’87)
2. Si nous n’avons pas un sens d’espérance, la vie sera plutôt morne. Pas surprenant qu’il y a des chrétiens qui se découragent. Ou qui semblent simplement marquer le temps. Ils ont perdu de vue leur espérance.
3. Évidemment, nous avons besoin d’une espérance dans le sens objectif aussi. Il faut que ce soit vrai! (Il y a certaines choses qui sont notre « espérance », que nous les espérons ou non! » .. ce qui nous attend.)
II. Nous avons une ferme espérance v. 15 et 19
1. À moins d’être fermement ancré à Christ, le Rocher éternel, nous faisons face à être des épa-ves pour l’éternité. On flotte d’un bord et d’autre avec la marée, sans préparation pour les tempêtes de la vie. Pour le croyant, Jésus est en même temps l’ancre et le refuge. Quelqu’un a dit : « À moins ancré sur le Rocher, tu seras brisé sur les roches! »
2. Notre ferme espérance, est l’assurance du salut éternel. Une femme âgée mourrait, et quel-qu’un qui la visitait était plutôt désemparé de voir comment elle était sût d’aller au ciel. Cela lui semblait un peu présomptueux. Il lui a exhorté de s’assurer qu’elle soit vraiment en règle avec Dieu. Elle a dit : « Jeune homme, si je n’allais pas au ciel, le Seigneur perdrait bien plus que ce que moi je pourrais perdre. Si je n’allais pas au ciel, tout ce que je pourrais perdre, ce serait mon propre âme. Mais le Seigneur perdrait son bon nom et sa réputation. Son honneur. Parce qu’il a promis de sauver jusqu’au bout ceux qui viennent à Christ, et c’est par ce che-min-là que je suis venu. »
3. Nous pouvons nous réjouir de ce que nous serons avec Lui, et que nous serons même délivrés de la présence du péché.
III. Nous devons cultiver le sentiment d’espérance v. 11
1. Cela a été dit que tu ne briseras jamais une promesse de Dieu en t’appuyant dessus.
2. Imitez creux qui imitent le Seigneur! V.12b Imitez leur foi, leur zèle, leur service. Parce qu’ils vivent de l’espérance.
3. Ce sentiment d’espérance est ce qui nous fait voir les évènements et circonstances dans nos vies du point de vue de l’éternité.
IV. Ce que l’espérance produit en nous. v. 10
1. Je crois qu’au ciel nous allons voir une plaque au-dessus de la porte. Ça dira : « Je me sou-viens! » et ce sera signé : « Dieu »!
2. Dieu se souvient de ses promesses 2 P. 3 :9 Même si nous sommes oublieux, lui, il ne l’est pas.
3. Un chrétien visitait un autre croyant âgé qui s’approchait de la fin. Il a trouvé le mourant dans un état d’angoisse. Il dit : « J’ai 87 ans maintenant, et j’ai mémorisé les promesses de Dieu toute ma vie. Mais ce matin, en me réveillant, je ne me rappelle d’aucune de ces promesses. » L’ami chrétien lui a dit : « Tu peux bien avoir oublié les promesses de Dieu, mais penses-tu pour un moment que Dieu ne les a pas oublié? »
4. Bien des gens abandonnent leur service pour le Seigneur parce qu’ils ne se sentent pas appré-cié. Ou ils sentent qu’ils perdent leur temps. C’est un peu comme quand on travail pour une compagnie, et un « bosse » vient nous dire : « S’il vous plaît, place toutes ces choses sur des crochets sur le mur. C’est comme cela que je le veux. » Tu passes des heures à tout ramasser d’où ils étaient, trouver des crochets, les poser, et placer les items dessus. » Mais ensuite un plus grand « bosse » vient, et te dit : « Je ne veux pas ces choses sur le mur comme cela. Met les sur des tablettes. » C’est décourageant! Et la vie parfois semble comme ça. Des gens qui enseignent l’école de dimanche pendant des années; des gens qui témoignent à leurs amis; des gens qui prêchent; ils ne voient pas grand résultat, et encore moins de reconnaissance, et ils se demandent si tout vaut la peine! Mais la Parole de Dieu t’assure que ton travail d’amour pour le Seigneur n’ira pas sans être remarqué par Lui. Il se souvient, et il donne une récompense même pour une tasse d’eau donnée en son nom.
Quelle espérance as-tu? Qu’est-ce qui te fait fonctionner? Qu’est-ce qui te donne le goût de te lever le matin, ou de continuer quand les choses semblent difficile? Qu’est-ce qui te donne le goût de continuer quand il te semble que personne ne t’apprécie, ou que personne ne reconnaît ton œuvre? Cela doit être Dieu. L’avenir. L’éternité, quand tout va être clair. Et cela vaudra la peine! Y croyons-nous?
mercredi 17 mars 2010
Sermon sur Hébreux 6:1-9
Hébreux 6 :1-9
vv.1-3 Passons à autre chose!
vv.4-8 Ce serait une perte de temps revenir à cela. Si des personnes qui connaissaient le Seigneur y avaient renoncé, on perdrait son temps en essayant de lui expliquer de nou-veau les choses mentionnées dans les 2 premiers versets.
v.9 Nous avons de meilleures attentes de votre part. (En autres mots nous pensons que vous êtes déjà sauvés, et que nous pouvons continuer en avant avec l’enseignement.)
Retourner aux bases, si vous êtes dans le Seigneur, serait perdre notre temps parce que nous pouvons maintenant avancer.
Retourner aux bases, si vous avez abandonné le Seigneur, serait perdre notre temps, parce qu’il serait impossible que vous soyez renouvelés et amenés à la repentance.
Pourquoi il faut avancer dans la vie chrétienne et dans la connaissance de Dieu
1. Ce qui n’avance pas, recule vv.1-3
2. Cela vaut la peine si nous avons vraiment connu Dieu vv.4-9
3. Cela nous fait voir que nous l’avons connu en réalité vv.4-9
C’est pourquoi, laissant les éléments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du renoncement aux œuvres mortes,
de la foi en Dieu, de la doctrine des baptêmes, de l’imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel.
C’est ce que nous ferons, si Dieu le permet.
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit,
qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir,
et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l’exposent à l’ignominie.
Lorsqu’une terre est abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, et qu’elle produit une herbe utile à ceux pour qui elle est cultivée, elle participe à la bénédiction de Dieu;
Mais, si elle produit des épines et des chardons, elle est réprouvée et près d’être maudite, et on finit par y mettre le feu.
Quoique nous parlions ainsi, bienaimés, nous attendons, pour ce qui vous concerne, des choses meilleures et favorables au salut.
I. Dieu veut que nous croissions
1. Vous connaissez les bonsai? Ces petits arbres qu’on peut garder dans la maison? C’est un petit truc que les japonais auraient inventé. Il s’agit de couper régulièrement des petits bouts de racines, en même temps des bouts de branche… Je ne connais pas tout le technique, mais le résultat est que l’arbre vieillit, mais ne grandit pas. Il reste un nain. Je ne sais pas si on peut faire ça avec un oranger, mais si oui, ça ferait une belle petite décora-tion dans la maison, si on aime ça, mais totalement inutile si vous voulez manger des oranges. Quelquefois des chrétiens semblent être comme ça. On leur trime les branches, on leur trime les racines, pour qu’elles ne puis-sent pas aller profond, et ils ne grandissent pas, et ne produisent pas grand-chose en tant que fruit non plus.
2. Le lait – Hé.5 :13. Il n’y a pas beaucoup de choses que j’aime plus qu’un beau morceau de gâteau au chocolat avec crémage au chocolat que Lise fait, avec un grand verre de lait. Ou un morceau de tarte au pommes bien sucrée avec de la cannelle, et un grand verre de lait. Suis-je un bébé parce que je bois du lait? Non, mais si je buvais seulement du lait et ne mangeait pas de viande, légumes, etc., j’aurais un problème. On pourrait bien me di-re : « Il est temps que tu passes à autre chose! »
3. Il faut laisser de côté les éléments
a. Non pas parce qu’ils sont mauvais
b. Mais parce qu’ils sont incomplets
4. Les éléments sont :
a. renoncement aux œuvres mortes,
b. de la foi en Dieu,
c. de la doctrine des baptêmes,
d. de l’imposition des mains,
e. de la résurrection des morts, et
f. du jugement éternel.
5. L’enseignement de la Parole doit aller plus loin : apprendre à mettre la foi en pratique; à vivre sa foi.
II. Nous pouvons seulement croître si nous avons vraiment connu Dieu vv.4-6
1. Il y a des choses qui sont impossibles!
a. Tomber après avoir été éclairé, et être renouvelé et amené à la re-pentance.
b. Tomber après avoir goûté et être amené à la repentance.
2. Si nous retournons en arrière, deux choses sont impossibles :
a. Croître
b. Recommencer
3. C’est parce qu’on a pris une décision en pleine connaissance de cause. « Tu sais ce que tu rejettes, pourquoi est-ce que tu voudrais le prendre plus tard? »
4. Je m’étais promis en mariage avec une jeune fille, quand je graduais de Bethel. Avec beaucoup d’anticipation, j’ai voyagé jusqu’où elle demeu-rait pour la visiter, et connaître ses parents. Quand je suis arrivé, elle m’a annoncé qu’elle avait changé d’idée. Durant la semaine que j’y étais, j’ai essayé de la faire changer d’idée – j’ai pu connaître ses parents que j’ai apprécié beaucoup… la jeune fille ne changeait pas d’idée. Je suis retour-né bredouille! Quelques mois plus tard, quand je vivais au Nouveau Brunswick, la jeune fille m’a écrit. Elle voulait reprendre. Je l’ai écrit une courte lettre pour lui dire que je ne jouais pas à ce jeu. Je ne lui en voulais pas, mais ce qu’elle ne voulait pas en 1981, elle ne voudrait pas plus en 1982 ou 1983. L’exemple n’est pas parfait, mais je crois qu’une personne doit savoir ce qu’il veut aussi. S’il s’approche au Seigneur, goûte, est éclairé, il sait à qui il a affaire, et il décide qu’il n’en veut pas…
III. Si nous n’avons pas de croissance il faut mettre en doute que nous ayons connu Dieu vv.5-9
1. Une terre bonne produit de bons résultats
2. Une terre mauvaise produit de mauvais résultats.
3. Ce ne sont pas les résultats qui changent la qualité de la terre; mais ce sont les résultats qui déterminent la qualité de la terre.
4. L’écrivain considère qu’il écrit à des croyants, nés de nouveau, et donc il considère que l’aspect négatif ne s’appliquera pas à eux. En même temps il sait qu’il y a toujours la possibilité d’avoir des non-régénérés parmi les gens qui reçoivent la lettre.
5. Il y a une différence entre être éclairé et connaître. Il y a une différence en-tre goûter et manger. (Si je goûte quelque chose, et je la crache de ma bouche, est-ce que je vais la manger après?) Jean 6 :51;
Si donc, vous êtes vraiment en Jésus-Christ, vous n’avez pas à craindre de perdre votre salut. Si, d’autre part, vous avez seulement goûté, vous avez seulement été éclairé, faites attention de ne pas endurcir vos cœurs au point de ne plus avoir aucun désir de re-pentance. Mais si vous vous repentez, vous n’avez jamais à craindre que le Seigneur vous rejette, parce qu’Il a dit : « Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. »
vv.1-3 Passons à autre chose!
vv.4-8 Ce serait une perte de temps revenir à cela. Si des personnes qui connaissaient le Seigneur y avaient renoncé, on perdrait son temps en essayant de lui expliquer de nou-veau les choses mentionnées dans les 2 premiers versets.
v.9 Nous avons de meilleures attentes de votre part. (En autres mots nous pensons que vous êtes déjà sauvés, et que nous pouvons continuer en avant avec l’enseignement.)
Retourner aux bases, si vous êtes dans le Seigneur, serait perdre notre temps parce que nous pouvons maintenant avancer.
Retourner aux bases, si vous avez abandonné le Seigneur, serait perdre notre temps, parce qu’il serait impossible que vous soyez renouvelés et amenés à la repentance.
Pourquoi il faut avancer dans la vie chrétienne et dans la connaissance de Dieu
1. Ce qui n’avance pas, recule vv.1-3
2. Cela vaut la peine si nous avons vraiment connu Dieu vv.4-9
3. Cela nous fait voir que nous l’avons connu en réalité vv.4-9
C’est pourquoi, laissant les éléments de la parole de Christ, tendons à ce qui est parfait, sans poser de nouveau le fondement du renoncement aux œuvres mortes,
de la foi en Dieu, de la doctrine des baptêmes, de l’imposition des mains, de la résurrection des morts, et du jugement éternel.
C’est ce que nous ferons, si Dieu le permet.
Car il est impossible que ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté le don céleste, qui ont eu part au Saint-Esprit,
qui ont goûté la bonne parole de Dieu et les puissances du siècle à venir,
et qui sont tombés, soient encore renouvelés et amenés à la repentance, puisqu’ils crucifient pour leur part le Fils de Dieu et l’exposent à l’ignominie.
Lorsqu’une terre est abreuvée par la pluie qui tombe souvent sur elle, et qu’elle produit une herbe utile à ceux pour qui elle est cultivée, elle participe à la bénédiction de Dieu;
Mais, si elle produit des épines et des chardons, elle est réprouvée et près d’être maudite, et on finit par y mettre le feu.
Quoique nous parlions ainsi, bienaimés, nous attendons, pour ce qui vous concerne, des choses meilleures et favorables au salut.
I. Dieu veut que nous croissions
1. Vous connaissez les bonsai? Ces petits arbres qu’on peut garder dans la maison? C’est un petit truc que les japonais auraient inventé. Il s’agit de couper régulièrement des petits bouts de racines, en même temps des bouts de branche… Je ne connais pas tout le technique, mais le résultat est que l’arbre vieillit, mais ne grandit pas. Il reste un nain. Je ne sais pas si on peut faire ça avec un oranger, mais si oui, ça ferait une belle petite décora-tion dans la maison, si on aime ça, mais totalement inutile si vous voulez manger des oranges. Quelquefois des chrétiens semblent être comme ça. On leur trime les branches, on leur trime les racines, pour qu’elles ne puis-sent pas aller profond, et ils ne grandissent pas, et ne produisent pas grand-chose en tant que fruit non plus.
2. Le lait – Hé.5 :13. Il n’y a pas beaucoup de choses que j’aime plus qu’un beau morceau de gâteau au chocolat avec crémage au chocolat que Lise fait, avec un grand verre de lait. Ou un morceau de tarte au pommes bien sucrée avec de la cannelle, et un grand verre de lait. Suis-je un bébé parce que je bois du lait? Non, mais si je buvais seulement du lait et ne mangeait pas de viande, légumes, etc., j’aurais un problème. On pourrait bien me di-re : « Il est temps que tu passes à autre chose! »
3. Il faut laisser de côté les éléments
a. Non pas parce qu’ils sont mauvais
b. Mais parce qu’ils sont incomplets
4. Les éléments sont :
a. renoncement aux œuvres mortes,
b. de la foi en Dieu,
c. de la doctrine des baptêmes,
d. de l’imposition des mains,
e. de la résurrection des morts, et
f. du jugement éternel.
5. L’enseignement de la Parole doit aller plus loin : apprendre à mettre la foi en pratique; à vivre sa foi.
II. Nous pouvons seulement croître si nous avons vraiment connu Dieu vv.4-6
1. Il y a des choses qui sont impossibles!
a. Tomber après avoir été éclairé, et être renouvelé et amené à la re-pentance.
b. Tomber après avoir goûté et être amené à la repentance.
2. Si nous retournons en arrière, deux choses sont impossibles :
a. Croître
b. Recommencer
3. C’est parce qu’on a pris une décision en pleine connaissance de cause. « Tu sais ce que tu rejettes, pourquoi est-ce que tu voudrais le prendre plus tard? »
4. Je m’étais promis en mariage avec une jeune fille, quand je graduais de Bethel. Avec beaucoup d’anticipation, j’ai voyagé jusqu’où elle demeu-rait pour la visiter, et connaître ses parents. Quand je suis arrivé, elle m’a annoncé qu’elle avait changé d’idée. Durant la semaine que j’y étais, j’ai essayé de la faire changer d’idée – j’ai pu connaître ses parents que j’ai apprécié beaucoup… la jeune fille ne changeait pas d’idée. Je suis retour-né bredouille! Quelques mois plus tard, quand je vivais au Nouveau Brunswick, la jeune fille m’a écrit. Elle voulait reprendre. Je l’ai écrit une courte lettre pour lui dire que je ne jouais pas à ce jeu. Je ne lui en voulais pas, mais ce qu’elle ne voulait pas en 1981, elle ne voudrait pas plus en 1982 ou 1983. L’exemple n’est pas parfait, mais je crois qu’une personne doit savoir ce qu’il veut aussi. S’il s’approche au Seigneur, goûte, est éclairé, il sait à qui il a affaire, et il décide qu’il n’en veut pas…
III. Si nous n’avons pas de croissance il faut mettre en doute que nous ayons connu Dieu vv.5-9
1. Une terre bonne produit de bons résultats
2. Une terre mauvaise produit de mauvais résultats.
3. Ce ne sont pas les résultats qui changent la qualité de la terre; mais ce sont les résultats qui déterminent la qualité de la terre.
4. L’écrivain considère qu’il écrit à des croyants, nés de nouveau, et donc il considère que l’aspect négatif ne s’appliquera pas à eux. En même temps il sait qu’il y a toujours la possibilité d’avoir des non-régénérés parmi les gens qui reçoivent la lettre.
5. Il y a une différence entre être éclairé et connaître. Il y a une différence en-tre goûter et manger. (Si je goûte quelque chose, et je la crache de ma bouche, est-ce que je vais la manger après?) Jean 6 :51;
Si donc, vous êtes vraiment en Jésus-Christ, vous n’avez pas à craindre de perdre votre salut. Si, d’autre part, vous avez seulement goûté, vous avez seulement été éclairé, faites attention de ne pas endurcir vos cœurs au point de ne plus avoir aucun désir de re-pentance. Mais si vous vous repentez, vous n’avez jamais à craindre que le Seigneur vous rejette, parce qu’Il a dit : « Je ne mettrai pas dehors celui qui vient à moi. »
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