mardi 6 avril 2010

Sermon de Pâques

La Résurrection de Jésus


I Corinthiens 15:1-11



Crois-le!

(par Roy Irwin) [traduit]

Ce que je vais vous dire peut paraître impossible – mais il parait que c’est vrai! Un pneu enterré ne restera pas sous terre. C’est vrai! Si on ensevelit un pneu cinq pieds sous terre, sous des conditions normales, il retournera tout seul à la surface.

Veux-tu savoir pourquoi?

Un pneu est fait de caoutchouc, et il est très résiliant. Il pousse constamment contre la terre dans tous les sens. Le poids de la terre au-dessus du pneu est moindre que le pois de la terre en dessous. Puisqu’il y a moins de poids il y a aussi moins de résistance. Il est plus facile pour le pneu de bouger vers le haut que d’aller plus pas.

Le pneu fait de l’expansion et contraction du aux changements dans la température de la terre durant la journée et à travers l’année. Graduellement la terre qui est devenue molle, est travaillée autour du pneu à travers de petites fentes et crevasses. Le sol bouge autour du pneu tandis que le pneu pousse contre le sol. Ceci continue jusqu’à ce qu’un jour, gé-néralement environs dix ans plus tard, le pneu revient à la surface. Essaie-le, tu verras!


M. Irwin, qui a écrit cet article en anglais insiste que ceci est vrai, quoiqu’il ne l’avait pas cru quand il l’a premièrement entendu. Cela ne lui semblait pas possible.

Bien des gens ont le même sentiment quand ils entendent dire que Christ est mort – et qu’ensuite il est revenu à la vie.

Mais c’est vrai!

Si Jésus était simplement mort, il ne serait pas différent d’un autre chef religieux quel-conque de l’histoire. Mais Jésus-Christ n’était pas simplement un autre chef religieux – Il est le Fils même de Dieu! Sa vie n’est pas terminée avec une mort sur la croix. Non! Trois jours plus tard, Jésus-Christ est sorti triomphant du tombeau – proclamant une fois pour toutes la victoire sur le péché, sur la mort, sur l’enfer – exactement tel qu’il l’avait promis! Aucun autre chef religieux ne peut prétendre cela - seulement Jésus!

Crois-le!

Dans son livre "Therefore Stand: Christian Apologetics" Wilbur M. Smith l’a résumé ainsi: "Si notre Seigneur a dit, fréquemment, avec beaucoup de détail bien définie, qu’après avoir monté à Jérusalem il serait mis à mort, mais que le troisième jour il res-susciterait et sortirait du tombeau, et que cette prédiction s’accomplit, alors il m’a tou-jours semblé que toute autre chose que notre Seigneur a dit doit aussi être vraie."

Et c’est ce que nous célébrons à Pâques! L’histoire de Pâques en est une d’espérance – pour toi et moi – non pas seulement le dimanche de Pâques, mais TOUS LES JOURS! Célébrer que Jésus-Christ est venu dans le monde et a vécu une vie parfaite, sans péché. Et qu’il a volontairement donné sa vie comme paiement pour tes péchés et les miens afin que nous puissions passer l’éternité avec Lui! Tel qu’il l’a promis!

Après la révolution française, un homme a décidé de commencer une nouvelle religion. Il y a travaillé mais n’y arrivait pas. Alors un jour il s’en est plaint à un membre du clergé. Et il lui a demandé : « Comment est-ce que je pourrais réussir à commencer une nouvelle religion? L’homme du clergé lui a dit : « Cela m’a l’air difficile, je ne saurais pas te conseiller. » Mais après, il s’est repris et il a dit : « J’aurais un conseil que tu pourrais es-sayer. Tu pourrais te faire crucifier, et ressusciter le troisième jour! »

Preuves de la Résurrection

par Josh McDowell

Pendant des siècles, bon nombre des philosophes les plus distingués du monde se sont attaqués au christianisme comme étant irrationnel, superstitieux et absurde. Plusieurs ont simplement choisi d’ignorer la question centrale de la résurrection. D’autres ont cherché à l’expliquer par le moyen de plusieurs théories. Mais on ne peut pas ignorer les preuves historiques.

Comment peut-on expliquer le tombeau vide? Est-ce que cela peut s’expliquer par une cause naturelle quelconque?

UNE QUESTION D’HISTOIRE

La résurrection de Jésus-Christ est soit une des arnaques des plus vicieuses, sans cœurs, méchantes, de tous les temps, ou c’est bel et bien le fait le plus remarquable de l’histoire.

Voici quelques faits importants concernant la résurrection: Jésus de Nazareth, un prophè-te juif qui prétendait être le Christ qui était prophétisé sans les Écritures Juives, a été arrê-té, jugé comme un criminel politique, et crucifié. Trois jours après sa mort et son enseve-lissement, quelques femmes sont allées à son tombeau et ont découvert que le corps avait disparu. Dans les semaines suivantes, ses disciples ont prétendu que Dieu l’avait ressusci-té des morts et qu’il leur était apparu plusieurs fois avant de monter au ciel.

À partir de cette fondation, le christianisme s’est répandu à travers l’empire romaine et a continue à exercer une énorme influence à travers les siècles.

DES TÉMOINS VIVANTS

Les récits de la résurrection que nous retrouvons dans le Nouveau Testament circulaient à travers l’Europe durant le vécu des hommes et des femmes qui vivaient au moment même de la résurrection. Ces gens auraient sûrement confirmé ou nié l’exactitude de ces récits.

Les écrivains des quatre évangiles avaient soit été des témoins, soit racontaient les récits des témoins oculaires des évènements mêmes. En présentant leurs arguments pour l’évangile (un mot qui veut dire “bonne nouvelle,” les apôtres ont fait appel (même en confrontant leurs adversaires les plus sévères) à la connaissance commune en ce qui concernait les faits de la résurrection.

F. F. Bruce, professeur de la critique biblique et de l’exégèse à l’Université de Manches-ter, dit concernant la valeur des documents néotestamentaires comme sources primaires: "S’il y aurait eu une tendance quelconque de s’éloigner des faits réels dans un aspect ma-tériel quelconque, la présence possible de témoins hostiles dans l’auditoire aurait servi de correctif."


PEUT-ON SE FIER AU NOUVEAU TESTAMENT?

Puisque le Nouveau Testament fournit la source historique primaire pour l’information concernant la résurrection, bien des critiques du 19ième siècle se sont attaqués à la fidélité de ces documents bibliques.

Rendu à la fin du 19ième siècle, pourtant, les découvertes archéologiques avaient confirmé l’exactitude des manuscrits du Nouveau Testament. Les découvertes des papyri plus an-ciens ont fait le pont entre le temps de Christ et les manuscrits existants d’une date ulté-rieure.

Ces trouvailles ont fait augmenter la confiance des érudits dans la fidélité de la Bible. William F. Albright, qui à son époque était l’archéologue biblique le plus important au monde, a dit: "Nous pouvons déjà affirmer qu’il n’existe plus aucune base solide pour dater un livre quelconque du Nouveau Testament plus tard que A.D. 80, ce qui fait deux générations entières avant la date entre 130 et 150 donné par les critiques plus radicaux du Nouveau Testament de nos jours."

Coïncidant avec les découvertes des papyri, une abondance d’autres manuscrits est venue à la lumière (plus de 24,000 copies des premiers manuscrits du Nouveau Testament que nous savons de nos jours sont en existence). L’historien Luc écrivait concernant des "preuves authentiques" concernant la résurrection. Sir William Ramsay, qui a passé 15 ans en essayant à miner l’autorité de Luc comme historien, et à réfuter la fidélité des do-cuments du Nouveau Testament, a finalement conclu: "Luc est un historien du premier rang . . . L’écrivain devrait être place à côté des plus grands historiens. "


ARRIÈRE-PLAN

Les témoins du Nouveau Testament étaient pleinement conscients de l’arrière-plan contre lequel la résurrection a eu lieu. Le corps de Jésus, en accord avec la coutume d’enterrement juif, était enveloppé dans un linceul. Environs 100 livres d’épices aromati-ques, mélangés ensemble pour former une substance gommeuse, ont été appliqués au lin-ge qui enveloppait son corps. Après que le corps avait été place dans un tombeau de ro-che solide, une pierre extrêmement grande a été roulée contre l’entrée du tombeau. Géné-ralement on roulait de grandes pierres qui pesaient environs deux tonnes (par le moyen des leviers) contre l’entrée d’un tombeau.

Une garde romaine composée de soldats strictement disciplines était placée pour garder le tombeau. Cette garde a placé sur le tombeau le seau romain, ce qui avait l’intention de "prévenir quelque effort que ce soit de vandaliser le sépulcre. Si quelqu’un essaierait de bouger la pierre de l’entrée du tombeau il aurait rompu le seau et ainsi encouru la colère de la loi romaine.

Mais trois jours plus tard le tombeau était vide. Ceux qui suivaient Jésus ont dit qu’il était ressuscité d’entre les morts. Ils ont dit qu’il leur était apparu durant une période de 40 jours, en se montrant à eux avec un bon nombre de « preuves infaillibles ». Paul l’apôtre raconte que Jésus est apparu à plus de 500 de ses disciples à la fois, la majorité desquels vivaient encore en ce moment, et qui pourraient confirmer ce qu’a écrit Paul. Tellement de précautions sécuritaires avaient été prises avec le procès, la crucifixion, l’ensevelissement, le sellage et la garde du tombeau de Christ que cela devient très diffi-cile pour les critiques à défendre leur position que Christ n’est pas ressuscité des morts.

Considérez les faits suivants:

FAIT #1: LE SEAU ROMAIN ROMPU

Comme nous l’avons dit, le premier fait évident était le fait de rompre le seau qui repré-sentait la puissance et l’autorité de l’Empire Romaine. Les conséquences de rompre ce seau étaient extrêmement sévères. Le FBI et le CIA de l’Empire Romaine étaient appelés en action pour trouver l’homme ou les hommes responsables de l’acte. S’ils étaient arrê-tés, cela signifiait l’exécution automatique par crucifixion à l’envers. Les gens crai-gnaient de rompre le seau. Les disciples de Jésus avaient fait preuves de lâcheté quand ils se sont cachés. Pierre, un de ces disciples, avait renié le Christ trois fois.

FAIT #2: LE TOMBEAU VIDE

Comme nous l’avons déjà dit, un autre fait évident après la résurrection était le tombeau vide. Les disciples de Christ ne sont pas partis à Athènes ou Rome pour annoncer que Christ était ressuscité des morts. Plutôt ils sont retournés directement à la ville de Jérusa-lem, où, si ce qu’ils annonçaient était faux, la fausseté aurait été évidente. Le tombeau vide était "trop notoire pour être nié." Paul Althaus affirme que la résurrection "n’aurait pas pu être maintenue à Jérusalem pour un seul jour, pour une seule heure, si le fait du tombeau vide n’avait pas été établi comme un fait pour tous ceux qui étaient concernés."

Les sources et traditions juives et romaines reconnaissent un tombeau vide. Ces sources s’étendent de Josèphe jusqu’à une compilation d’écrits juifs du cinquième siècle appelés le "Toledoth Jeshu." Dr. Paul Maier appelle ceci "preuves positives d’une source hostile, ce qui est le genre de preuve historique le plus fort. En autres mots, si une source admet un fait qui ne favorise définitivement pas la source, alors le fait est authentique. "

Gamaliel, qui était membre du tribunal juif, le Sanhédrin, a proposé l’idée que l’avance du mouvement chrétien pourrait être l’œuvre de Dieu; il n’aurait jamais suggéré une telle chose si le tombeau était encore occupé, ou si le Sanhédrin aurait su où se trouvait le corps de Jésus.

Paul Maier observe que " . . . si on pèse toutes les preuves avec soin et justice, selon les canons de la recherché historique, il est justifiable de conclure que le sépulcre de Joseph d’Arimathée, dans lequel Jésus a été enseveli, était réellement vide le matin de cette pre-mière Pâques chrétienne. Et aucune miette d’évidence n’a encore été découverte, dans les sources littéraires, en épigraphie, ou en archéologie qui pourrait démontrer le contraire de cette affirmation. "


FAIT #3: LA GRANDE PIERRE EST BOUGÉE

Ce dimanche matin là, la première chose qui a impressionné les gens qui s’approchaient du tombeau était la position peu usuelle de la Pierre d’une ou deux tonnes qui avaient été place à l’entrée. Tous les écrivains des Évangiles le mentionnent.


Ceux qui ont observé la pierre après la résurrection décrivent sa position comme étant roulé vers l’amont, non seulement éloignée de l’entrée du tombeau, mais éloignée de tout le sépulcre massif. C’était dans une telle position qu’elle semblait avoir été ramassé et transportée plus loin. Maintenant je vous demande, si les disciples auraient voulu venir, marcher autour des soldats qui dormaient, et ensuite rouler la pierre et voler le corps de Jésus, comment est-ce qu’ils auraient pu faire cela sans que les gardiens s’en aperçoivent?

FAIT #4: LA GARDE ROMAINE ABSENTE SANS PERMISSION

Les gardiens Romains ont fui. Ils ont abandonné le lieu de leur responsabilité. Comment est-ce que leur action peut s’expliquer, quand la discipline militaire romaine était si ex-ceptionnelle? Justin, dans Digest #49, mentionne toutes les offenses qui exigeaient la pei-ne de mort. La peur de la colère de leurs supérieurs et la possibilité de la mort voulait dire qu’ils portaient beaucoup d’attention aux plus petites détails de leur travail. Une des fa-çons qu’un gardien était mis à mort était de le déshabiller et le bruler vif dans un feu qui a été commence avec son linge. Si on ne pouvait pas dire lequel des soldats avait manqué à son devoir, on tirait au sort pour savoir lequel serait puni de mort pour le manquement de l’unité. Certainement l’unité entière ne se serait pas endormie ayant ce genre de menace qui planait sur leurs têtes. Le Dr. George Currie, un étudiant de la discipline militaire ro-maine, a écrit que la crainte d’être puni "a produit une attention sans faute au devoir, spé-cialement dans les gardes de nuit."

FAIT #5: LES APPARENCES DE JÉSUS CONFIRMÉES

Christ est apparu vivant à plusieurs occasions après les évènements bouleversants de Pâ-ques. Quand on étudie un évènement de l’histoire, il est important de savoir si assez de personnes qui ont été participants ou témoins oculaires à l’évènement étaient vivants quand l’évènement a été premièrement publié. Le fait de savoir cela nous aide évidem-ment à évaluer l’exactitude du rapport publié. Si le nombre de témoins oculaires est im-portant, l’évènement peut être considéré comme étant assez bien établi. Par exemple, si nous sommes tous témoins d’un meurtre, et par la suite le rapport policier était une fabri-cation de mensonges, nous comme témoins oculaires pourrions le réfuter.

PLUS DE 500 TÉMOINS

Plusieurs facteurs très importants sont souvent ignores quand on considère les apparences post-résurrection aux individus. Le premier, c’est le grand nombre de témoins qui ont vu Jésus après ce matin de résurrection. Un des premiers qui raconte les apparences de Christ après la résurrection, c’est Paul. L’apôtre fait appel à la connaissance que ses lec-teurs ont du fait que Christ avait été vu par plus de 500 personnes à la fois. Paul leur a rappelé que la majorité de ces gens-là vivaient encore et pouvaient être interrogés. Le Dr. Edwin M. Yamauchi, professeur associé de l’histoire à Université de Mimi à Oxford, Ohio, souligne: "Ce qui accorde une autorité spéciale à cette liste (de témoins) comme preuve historique, c’est la référence que la plupart de ces cinq cent personnes étaient en-core vivants. Paul dit, en effet, 'Si vous ne me croyez pas, vous pouvez leur demander.' Une telle affirmation dans une lettre qui est considérée universellement comme étant au-thentique, écrite en dedans de 30 ans après l’évènement est une preuve à peu près aussi forte qu’on pourrait espérer pour quelque chose qui a eu lieu il y a presque deux mil ans." Prenons ces plus de 500 témoins qui ont vu Jésus vivant après sa mort et son ensevelis-sement, et plaçons-les dans la salle du tribunal. Te rends-tu compte que si chacun de ces 500 personnes témoignait pour seulement six minutes, inclus l’examen par l’adversaire, vous auriez 50 heures de témoignage de première main? Ajoutez à cela les témoignages de tous les autres témoins oculaires, et vous auriez le procès le plus grand et le plus désé-quilibré de l’histoire.

TÉMOINS HOSTILES

Un autre facteur qui est cruciale pour interpréter les apparences de Christ est le fait qu’il est aussi apparu à ceux qui étaient hostiles ou non convaincus.

Constamment j’entends les gens dire que Jésus a été vivant après sa mort et ensevelisse-ment, seulement par ses amis et ses disciples. En utilisant cet argument ils cherchent à diminuer l’énorme impacte des nombreux récits des témoins oculaires. Mais ce genre de raisonnement est si pathétique qu’il ne mérite à peine être commenté. Aucun auteur ou individu renseigné verrait Saul de Tarse comme étant un disciple ou ami de Christ. Les faits démontrent exactement le contraire. Saul haïssait le Christ et persécutait ses disci-ples. Cela a été une expérience qui a bouleversé sa vie quand Christ lui est apparu. Quoi-qu’il n’était pas un disciple en ce moment-là, il est devenu plus tard l’apôtre Paul, un des plus grands témoins à la vérité de la résurrection.

L’argument que les apparences de Christ étaient seulement pour ses disciples est un ar-gument, en général, du silence, et des arguments du silence peuvent être dangereux. Il est aussi possible que tous ceux à qui Jésus est apparu sont devenus ses disciples. Personne qui connaît les faits ne peut dire que Jésus est apparu à seulement "un petit nombre insi-gnifiant."

Les chrétiens croient que Jésus a été ressuscité corporellement en temps et en espace par la puissance surnaturelle de Dieu. Les difficultés de croyance peuvent être grandes, mais les problèmes inhérents dans la non croyance présentent des difficultés encore plus gran-des.

Les théories qui sont avancées pour expliquer la résurrection par des “causes naturelles” sont faibles; elles aident plutôt à bâtir la confiance dans la véracité de la résurrection.

TROMPÉ DE TOMBEAU?

Une théorie propose par Kirsopp Lake suggère que les femmes qui ont annoncé que le corps manquait s’était rendu au mauvais tombeau par erreur. Si c’est le cas, alors les dis-ciples qui sont allé vérifier les affirmations des femmes ont du aussi se tromper de tom-beau. Nous pouvons être bien certains, toutefois, que les autorités juives, qui avaient de-mandé qu’une garde romaine soit place au tombeau pour empêcher le vol du corps de Jé-sus, ne se seraient pas trompés concernant le lieu du tombeau. Ni les gardiens romains non plus, puisqu’ils y étaient!

Si la question de la résurrection était seulement une erreur géographique, les autorités juives n’auraient pas tardé à produire le corps de tombeau correct, finissant pour toujours avec n’import quelle rumeur concernant une prétendue résurrection.



HALLUCINATIONS?

Un autre effort d’expliquer les prétentions concernant les apparences de Jésus est que ces apparences après la résurrection étaient soit des illusions, soit des hallucinations. Toute-fois ceci n’est pas appuyé par les principes psychologiques qui gouvernent l’apparence des hallucinations, et la théorie ne coïncide pas non plus avec la situation historique. En-core une fois, où était le corps, et pourquoi est-ce que personne ne l’a produit?



EST-CE QUE JÉSUS S’EST ÉVANOUI?

Une autre théorie, popularisée par Venturini il y a quelques siècles, est souvent cité de nos jours. C’est la théorie d’évanouissement, qui prétend que Jésus n’est pas mort à la croix; il s’est simplement évanoui à cause de l’épuisement et la perte de sang. Tous pen-saient qu’il était mort, mais plus tard il a été ranimé et ses disciples pensaient que c’était une résurrection. Le sceptique, David Friedrich Strauss—qui n’était certainement pas un croyant dans la résurrection—a donné le coup de grâce à la pensée que Jésus a été ranimé d’un évanouissement: "Il est impossible qu’une personne qui est sorti à moitié mort du sépulcre, qui s’est traîné, faible et malade, nécessitant des soins médicaux, des bandages, d’être fortifié, de l’indulgence, et qui a fini par succomber à ses souffrances, qu’il ait donné aux disciples l’impression qu’Il était le Conquérant sur la mort et le tombeau, le Prince de la Vie, une impression qui demeurerait comme fondement de leur future minis-tère. Une telle réanimation n’aurait qu’affaibli l’impression qu’Il leur avait fait dans sa vie et sa mort, et au plus aurait seulement pu donner une voix poétique à leur message, mais n’aurait jamais pu transformer leur tristesse en enthousiasme, élevant leur révérence à l’adoration."

LE CORPS DÉROBÉ?

Alors considérons la théorie que le corps a été dérobé par les disciples pendant que les gardiens dormaient. La dépression et la lâcheté des disciples fournissent un argument as-sez fort contre l’idée qu’ils auraient eu l’audace de faire face à un détachement de soldats au tombeau et qu’ils voleraient le corps. Ils n’étaient pas d’humeur pour essayer une telle chose.

La théorie que les autorités juives ou romaines auraient déménagé le corps de Christ n’est pas plus raisonnable que celle d’un vol de la part des disciples. Si les autorités avaient le corps dans leur possession ou s’ils savaient où c’était, alors, quand les disciples prê-chaient à Jérusalem, pourquoi n’ont-ils pas expliqué: "Attendez! Nous avons déménagé le corps, vous voyez; il n’est pas ressuscité du tombeau "?

Et si une telle réponse ne fonctionnait pas, pourquoi n’ont-ils pas simplement expliqué où était le corps de Jésus? Ils auraient même pu récupérer le corps, le mettre dans une char-rue, et le rouler à travers le centre de Jérusalem. Une telle action aurait détruit le christia-nisme, non pas dans son berceau, mais avant même d’y arriver!


Mais de nos jours, je crois qu’une des preuves les plus importantes de la résurrection est reliée à la preuve que Jésus lui-même a donné à Thomas : « Mets tes doigts dans mes mains et mes pieds, et mon côté. » Voulant dire, il a montré ses blessures; les signes de sa souffrance.

On peut en faire une application : Quand les gens voient nos souffrances, et spécialement la manière dans laquelle Jésus vit à travers nous au milieu de nos souffrances, cela sera peut-être plus convaincant en ce qui concerne la résurrection!

Galates 2 :20

« J’ai été crucifié avec Christ; et si je vis, ce n’est plus moi qui vis, c’est Christ qui vit en moi; si je vis maintenant dans la chair, je vis dans la foi au Fils de Dieu, qui m’a aimé et qui s’est livré lui-même pour moi. »

J’ai commencé à croire en la résurrection de Jésus quand je l’ai vu vivre dans les chrétiens.

Sermon au sujet de l'église

Pourquoi l’Église?

Pourquoi en faire partie?


(Prêché le dimanche de notre Assemblée Annuelle)

D’abord, rappelons-nous que le mot église signifie, par définition, une assemblée locale, de personnes « rassemblés, hors de… ». Il n’est donc pas suffisant de parler de faire par-tie de « l’église universelle ». Au retour du Seigneur, les gens qui feraient partie de cette « église universelle » seront tous rassemblés dans une énorme église locale!

Selon I Timothée 3 :15, l’église du Dieu vivant est la colonne et l’appui de la vérité.

L’église est donc ce qui soutient la vérité de Dieu dans le monde. Aucun autre organisme n’est appelé à faire cela.

1. C’est un privilège

2. C’est une responsabilité

3. Le chrétien qui est appelé à faire de même, doit le faire au sein de l’église locale.

Il y a des chrétiens qui veulent « aller pour libre », être « indépendants ». Ils se pensent en train de servir Dieu, mais un peu en rébellion contre des autorités humaines. La vérité, malheureusement, c’est qu’à leur insu ils sont en train de se rebeller contre Dieu. En tra-vaillant et en vivant indépendamment de l’église, ils le font indépendamment de Dieu. On pense quelquefois qu’on a le droit de traiter les églises comme un centre d’achats, où on se promène pour savoir dans quel magasin on fera affaire, et si on n’en aime aucun on reste chez nous. Mais ce n’est pas comme ça. Si l’église n’est pas à mon goût, cela n’est pas une raison de rester chez moi. Parce que l’église appartient à Dieu, ayant été rachetée à un grand prix. C’est l’épouse de Christ. Si Christ l’aime, moi je l’aime. Si je fais partie de l’épouse aimée de Christ, alors je dois faire partie de son église locale. Si non, je suis sérieusement en contradiction. Et cette appartenance implique un certain engagement en-vers l’église.

"Ainsi donc, vous n’êtes plus des étrangers ni des gens du dehors; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu. Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des pro-phètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire. En lui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint dans le Seigneur. En Lui vous êtes aussi édifiés pour être une habitation pour Dieu en Esprit." Éphésiens 2:19-22

Intro: La joie, la surprise, la merveille, de savoir qu’on a été accepté pour faire partie d’une société spéciale, privilégiée quelconque. "Je suis un d’eux!"


I    Le croyant devrait comprendre qu’il fait déjà parti à plein droit de l’église,

     "vous n’êtes plus des étrangers ni des gens du dehors; mais vous êtes concitoyens des saints, gens de la maison de Dieu"

1 Quelle joie de savoir que nous faisons partie d’une société spéciale ! « Je suis un d’eux ! »

2 Dans l’église il n’existe pas de membres de seconde classe, ou second niveau.

3 Cela veut dire toi.

4 Cela veut dire l’autre, aussi, que tu peux être porté à penser qu’il est ou qu’elle est de trop.

II    Le croyant doit savoir que Jésus-Christ est la pierre angulaire de l’église

   "Vous avez été édifiés sur le fondement des apôtres et des prophètes, Jésus-Christ lui-même étant la pierre angulaire."

1 Tu n’en es pas la pierre angulaire

2 Le pasteur n’en est pas la pierre angulaire

3 Les plus anciens membres ne sont pas la pierre angulaire

4 La pierre angulaire est ce qui tient l’église ensemble. Seulement Jésus fait ça.

5 Nous pouvons compter sur Jésus pour tenir l’édifice ensemble, si nous fixons nos regards sur Lui.

III Le croyant doit comprendre sa responsabilité de collaborer dans l’œuvre de l’église

    "En lui tout l’édifice, bien coordonné, s’élève pour être un temple saint dans le Seigneur."

1 Tout l’édifice – Vu que tu fais parti de l’édifice, tu fais parti de son travail. Il n’y a pas de place pour les spectateurs.

2 Tu dois être en train de grandir ensemble avec les autres (‘êtes édifiés’ = vous grandissez)

3 Tu dois être comme entrecroisé, tissé ensemble, avec les autres

4 Tu dois être en train de collaborer dans la croissance de l’église – parce que croître, grandir, fait parti de la nature de l’église – de la même façon que ça fait parti de ta nouvelle nature à toi.

5 Ton service doit être coordonné avec celui des autres. Tu fais partie de quel-que chose qui est plus grand que toi seul. II Co. 6 :1 « Nous sommes des ou-vriers ensemble » - une organisation, c’est un groupe de personnes qui tra-vaillent ensemble dans un but commun. Comme les abeilles, chacun a son rôle.

6 Quel rôle as-tu dans ton église? Es-tu spectateur? Alors cela doit changer. Tu dois devenir un membre actif. C’est ce qui glorifiera Celui qui est la pierre angulaire de l’église.



L’église est l’épouse bien-aimée du Seigneur. Toi et moi, nous faisons parti d’elle. Et ton église locale, avec tous ses défauts, est l’église. Aime-la, prie pour elle, participe en elle et grandi avec elle.

Sermon sur Hébreux 7

Considérez…


Hébreux 7

« Considérez combien est grand celui auquel le patriarche Abraham donna la dîme du butin. » v.4

Dans l’histoire, Abraham refusait la bénédiction du roi de Sodome, mais non pas celle de Melchisé-dek. Il fait une différence claire. (Genèse 14 :18ss)

Psaume 45 :67 « Ton trône, ô Dieu, est à toujours; le sceptre de ton règne est un sceptre d’équité. »

Psaume 110 :4 « L’Éternel l’a juré, et il ne s’en repentira point : Tu es sacrificateur pour toujours, à la manière de Melchisédek. »

Les éléments dans lesquels le sacerdoce de Jésus est différent du sacerdoce lévitique :

I. Considérer la grandeur de Melchisédek parce qu’il nous donne une image de Christ

1. Melchisédek était « sans père, sans mère, sans généalogie » (Hé. 7 :3) Ce qui est inté-ressant, c’est que Matthieu et Luc donnent la généalogie de Jésus. Mais nous savons que du point de vue divin, il n’y avait pas de généalogie.

a. L’idée ici, c’est que la Parole de Dieu est totalement silencieuse concernant la généa-logie de Melchisédek, ce qui est étrange, puisque les gens d’importance sont généra-lement présentés avec leurs généalogies dans l’Ancien Testament. Il semble que c’est fait exprès, pour nous donner l’image intentionnée comme « type » de Jésus.

2. Qui est Melchisédek?

a. Melchisédek est appelé « Sacrificateur du Dieu Très-Haut » (Genèse 14 :18)

b. Le nom Melchisedek est une combinaison de Melek et Tsaddik « roi » et « Justice » « Salem » veut dire « paix ». Il serait donc « Roi de justice, roi de paix ». Une vraie image de Christ!

c. Quelques-uns le voient comme étant un « type » de Christ, voulant dire quelqu’un qui a existé, et dont certaines caractéristiques nous donnent un portrait de certains aspects de la personne de Christ.

d. D’autres le voient comme un être angélique.

e. D’autres le voient comme Christ lui-même, apparaissant avant son incarnation – on appelle cela quelquefois « théophanie » comme dans le cas de « l’Ange de l’Éternel » ou une « christophanie ».

f. Quelques-uns le voient comme étant Sem, le troisième fils de Noé, le fils de la pro-messe. (la tradition juive, qui a quand même une certaine valeur.)

3. Abraham a donné la dîme à Melchisédek; plus tard, les Lévites recevraient les dîmes des autres Israélites. Puisque Aaron était encore « dans les reins d’Abraham » en ce moment-là, donc le sacerdoce, ou la prêtrise Aaronic était en train de donner la dîme à Melchisédek. (Hé. 7:4-10)

4. Celui qui bénit est toujours plus grand que celui qui est en train d’être béni (dans le contexte). Ainsi, Melchisédek était plus grand qu’Abraham. Tandis que Lévi était enco-re “dans les reins” d’Abraham, nous pouvons en déduire que Melchisédek est plus grand que Lévi. (Hé. 7:7-10)

5. La fondation du sacerdoce d’Aaron était sa généalogie; la fondation, ou la base, du sa-cerdoce de Melchisédek semble être la vie éternelle. C'est-à-dire, il n’y a aucune inter-ruption causée par le décès du prêtre. (Hé. 7:8,15-16,23-25)

6. Si on est invité à considérer Melchisédek, c’est certainement dans le but que nous consi-dérons Celui qui est infiniment au dessus de Melchisédek. Jésus-Christ.

II. Considérer la grandeur de Christ dans son sacerdoce (plus grand que le sacerdoce lévitique)

« Cela parait plus évident encore, quand il parait un autre sacrificateur à la ressemblance de Melchi-sédek, institué, non d’après la loi d’une ordonnance charnelle, mais selon la puissance d’une vie impé-rissable; car ce témoignage lui est rendu : ‘Tu es sacrificateur pour toujours, selon l’ordre de Melchi-sédek.’ (Ps. 110 :4) » Parait-il que le mot « impérissable » pourrait aussi être rendu « indestructible ». Mais ça nous réfère aussi à la vie de résurrection. Et de même que le sacerdoce du Christ ressuscité est « impérissable » ou « indestructible », de même notre vie en Christ est « impérissable » et « indestructi-ble ».

La perte de la santé, des amitiés, des finances, peut nous faire penser que notre vie a été détruite. Mais pour le croyant, rien ne peut être plus loin de la vérité. Par notre union spirituelle avec Christ, nous avons la promesse que nous partagerons sa vie indestructible (Jn. 14 :19 ‘car je vis, et vous vivrez aus-si’).

v.25 « Il peut sauver parfaitement (totalement) ceux qui s’approchent de Dieu par lui, étant toujours vi-vant pour intercéder en leur faveur. »

1. Son origine divine

2. Sa permanence « une fois pour toutes ». Ce n’est pas répété : il n’y a aucun autre sacri-fice. Essayer de faire d’autres sacrifices, ce serait nier le sacrifice permanent, éternel, de Christ.

3. L’intercession de Christ qui continue aujourd’hui.

a. Quelqu’un a dit : « Si je savais que Jésus lui-même était dans la salle à côté, en train de prier pour moi, je ne craindrais rien! » Mais c’est justement le cas! Jésus est en train de prier pour toi, et pour moi. …Tu passes par une difficulté dans ta vie? Ra-conte-le à Jésus, et Il présentera tes besoins au Père.

b. Mon expérience quand je luttais avec un problème d’alcool. J’ai prié un soir, que le Seigneur vienne à mon secours. Dans ma pensée, il m’a fait voir un groupe à Québec qui était à genoux, en train de prier pour moi. (J’ai su après que ce groupe était en train de prier pour moi en ce moment-là). Cela m’a donné beaucoup de réconfort et de confiance. Mais combien plus est-ce que cela devrait nous remplir de confiance, sa-voir que Jésus est en train de prier pour nous?

c. Melodie a été demandé d’enseigner un cours de français à l’université du Honduras à Siguatepeque. Dans un de ses groupes d’élèves il y a le commissaire de police régio-nale. Celui-ci a dit à Melodie qu’elle pourrait compter sur lui pour n’importe quoi, si elle avait un problème quelconque. Bien, un jour pendant que nous étions là au Hon-duras, et que nous avions fait des plans pour amener les enfants à une piscine en de-hors de la ville le lendemain, Melodie a appris que le chauffeur que le foyer utilisait venait de se faire enlever ses documents par la police, sans une opération routinière. C’est que ses documents n’étaient pas en ordre. Donc il ne pourrait pas conduire les enfants le lendemain matin, ni les amener à l’école le lundi. Melodie est allée avec lui au poste de police, espérant y trouver un agent qu’elle connaîtrait. Mais le seul qu’elle connaissait était un homme lui était plutôt antipathique. Elle a essayé de les convaincre de remettre les documents à l’agent, mais on lui a laissé savoir que c’était « compliqué ». Cela veut dire, généralement, que ça prend un pot-de-vin. Alors Me-lodie a dit, «Je comprends que vous faites votre travail, peut-être que M. le commis-saire peut nous aider. » L’agent en charge du poste a dit : « le commissaire? » Et Me-lodie l’ nommé par son petit nom, et a commencé à signaler son numéro sur son cel-lulaire. En effet, le cellulaire personnel du commissaire était éteint en ce moment, mais cela ne faisait rien. L’agent a décidé que si Melodie connaissait assez bien le commissaire pour savoir son numéro de téléphone personnel, il était mieux de faire attention. Alors il a dit : « Regarde, je ne veux pas priver les enfants de leur chauffeur, alors je remets les documents, mais il doit voir à les mettre en ordre au plus tôt! » Me-lodie lui a remercié, et ils sont partis avec les documents. « Ne me dis pas qui tu es, dis-moi qui tu connais. » De la même manière que Melodie connaît une personne d’influence qui peut l’aider, nous connaissons une Personne d’Influence au Ciel! Le Fils de Dieu! Et Il intercède pour nous!

4. Le fait que Christ, n’ayant aucun péché, n’a pas besoin d’un autre prêtre qui offre un sa-crifice pour lui. Son offrande est donc parfaitement suffisante. 7 :26-27

5. Si le sacerdoce d’Aaron avait été efficace, Dieu n’aurait pas fait appel à un nouveau sa-crificateur, ou prêtre, d’un ordre différent dans le Psaume 110. (Hé. 7:11)

6. Le fait que le sacerdoce de Christ ne se transmet pas à d’autres.

7. Le sacerdoce de Melchisédek est plus efficace parce qu’il exige un seul sacrifice, offert une fois pour toutes (Jésus), tandis que le sacerdoce lévitique devait faire des sacrifices sans cesse. (Hé. 7:27)

8. Les sacrificateurs, ou prêtres, servent (ou, plutôt, servaient) dans une copie terrestre de, l’ombre, du Temple céleste, dans lequel Jésus sert. (Hé. 8:5) Ce temple est spirituel, et il est composé de pierres vivantes.

9. L’épître continuera en expliquant que l’alliance de Jésus est supérieure à l’alliance sous lequel se trouve le sacerdoce lévitique. (« Testament » = « alliance »). Melchisédek a donné du pain et du vin à Abraham, ce que nous pourrions bien voir comme étant des symboles du corps et du sang de Jésus-Christ pour confirmer l’alliance.

III. Considérer la folie et le danger d’ignorer le sacerdoce de Christ en allant à d'autres sacrifices. De quelles manières peut-on risquer de retourner à d’autres sacrifices, après avoir cru dans ce-lui de Christ?

1) Cela peut être par le moyen d’autres rites religieux qui représenteraient des sacrifices.

2) Cela peut aussi être par le moyen des actions que nous poserions que nous considérerions comme étant des sacrifices :

a. La maman d’une grande famille

b. Faire de bonnes œuvres pour dans l’espoir que cela compense pour une infidélité quelconque. (Cela marche avec les gens, mais non pas avec Dieu!).

c. Faire des œuvres dans le but d’accumuler des « points » au ciel.

d. Je crois que c’est Augustin qui a dit : « Aime Dieu, et fait tout ce que tu veux. »

e. "We must constantly monitor our hearts, to make sure we have the attitude of debtors, rather than deservers. If we are deservers, we feel like God owes us His mercy, and that we are entitled to His blessings. On the other hand, debtors are humble and grate-ful, desiring to joyfully serve God in return for all of His undeserved mercy." - Louie Konopka

f. « Nous devons contrôler constamment nos cœurs pour être certains que nous avons l’attitude des débiteurs, plutôt que des mériteurs. Si nous sommes des mériteurs, nous ressentons que Dieu nous doit sa miséricorde, et que nous avons droit à ses bénédic-tions. Mais au contraire, les débiteurs sont humbles et reconnaissants, désirant servir Dieu joyeusement en retour pour toute sa miséricorde non méritée. » - Louie Konopka