Ma Consolation dans ma Misère
Psaume 119:49-56
Vers la fin de l’année on est souvent porté à en faire le bilan : Quelles sont les bonnes choses qui se sont passées cette année? Quelles sont les mauvaises? Et certaines an-nées on peut être surpris de voir qu’il y a eu un bon nombre de choses très difficiles qui sont arrivées.
On dit qu’il y a une chose commune à tout être humain: c’est la misère, ou l’affliction. On est enfant d’Adam, nés pour la misère. Si tu es sans Dieu, “beaucoup de douleurs sont la part du méchant” (Ps. 32:10). Et si tu aimes Dieu, “le malheur atteint souvent le juste” (Psaume 34:20).
Nous sommes nés dans le trouble, et quand nous sommes nés pour la deuxième fois, si bien nous héritons beaucoup de bénédictions, nous héritons aussi d’un nouveau set de troubles! Nous entrons dans des épreuves et des conflits spirituels, ce qui nous donne une double portion de troubles, aussi bien qu’une double portion de bénédic-tions. David était un homme de Dieu, et il était souvent affligé. Il savait, pourtant, où il pouvait trouver du secours.
“C’est ma consolation dans ma misère, car ta promesse me rend la vie” (Psaume 119:50).
I. Les croyants ont une consolation spéciale dans leur misère.
1. “Ceci” – différents des consolations des autres hommes (prendre de l’alcool, etc.)
2. “Ceci” – il sait qu’est-ce que c’est, il peut l’expliquer. Bien des croyants peu-vent la vivre mais ne savent pas la partager avec les autres.
3. “Ceci” – ce n’est pas loin, c’est à la main, présent. Ce n’est pas l’expérience du passé.
4. “Ceci” – le plaidoyer dans la prière, la promesse! V.48 “Souviens-toi de ta promesse”. C’est la meilleure base de la prière.
II. La consolation vient d’une source spéciale (différente).
1. C’est la Parole de Dieu, et non les amis! Voir le pèlerin dans la prison du Géant Désespoir.
2. C’est une consolation interne: “Ta Parole me rend la vie” v.50
3. Une fois vivifiés, nous sommes par la suite vivifiés dans la joie, le service, etc.
4. Quand Dieu veut accomplir une chose, il fait autre chose: pour consoler, il vi-vifie. Le médecin qui donne les vitamines au lieu de la boisson.
5. L’affliction t’a poussé à chercher la consolation dans la Parole de Dieu. C’était donc une bénédiction. Un beau chemin en velours pour aller au Ciel serait dangereux: on deviendrait plus intéressé au chemin qu’au ciel!
III. Il y a certaines misères (épreuves) du chrétien dans lesquelles cette consolation est excellente.
1. L’espérance remise v.49 (c’est difficile d’attendre!) – donc, les promesses.
2. Les railleries de la part des orgueilleux v. 51 – donc, on se confie en Dieu.
3. La présence constante des méchants – v.53. Aujourd’hui, cela nous pousse à crier à Dieu, et à aimer plus la sainteté en contraste.
4. Dans la maison où je suis un étranger v. 54 – pèlerin, la solitude, pas aimé ...
5. La nuit ... les ténèbres de l’expérience, tout est sombre v.55. Cela nous pousse à nous appuyer sur lui.
Tout au long de ce passage, nous voyons que notre consolation est la Parole de Dieu, apporté à nos cœurs par Dieu le Saint-Esprit qui nous vivifie. Ne cherche pas à fuir les troubles; ne t’inquiètes pas; ne t’attends pas à ce que ce monde t’apporte des roses sans épines; demande plutôt d’être vivifié, non par révélation, ni par excitation, mais par la Parole de Dieu. Ainsi tu vaincras le trouble.
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